Martes 17 de april, llegamos a Argentina !
Partis la veille de Sâo Paulo, nous atterrissons à l'aéroport de Buenos Aires,
Il fait déjà nuit, nous prenons un taxi pour nous rendre dans une gare routière
où nous attend, enfin, nous l'espérons,
un bus pullman avec couchettes qui doit nous mener à Mendoza distante de 984 km !!!
Après une nuit tranquille et un peu fraiche dans un bus trop climatisé,
nous arrivons très excités (pas de panique...formule ange-saxone) à Mendoza,
où nous devons retrouver Emilio
C'est le papa de Raul, propriétaire de la jolie villa dans laquelle nous avons réservé par air BnB
qui viendra nous chercher à la gare routière de Mendoza
dans un superbe vieux pick up Chevrolet de 1967 parfaitement bien entretenu !
Quel service !!!
Comme indiqué sur son message, un Chevrolet 67 |
et nous découvrons une très jolie et agréable ville
calme, verte, avec de nombreux parcs...
Les gens sont sympas et souriants...
On se régale !
BIC, une marque bien de chez nous,
On y trouve toutes les fournitures scolaires, cahiers, stylo, cartables...
aux couleurs de l'enseigne française !
Jamais vu ça ailleurs !
Tiens, un Mc Do !!
Autre surprise,
en nous promenant dans la ville,
le parc de voitures, dans lequel se mélangent les derniers modèles allemands, japonais,
aux pick up américains, et nos voitures françaises des années 80,
le plus souvent en parfait état !
ouuaaahh !
Une R12 comme à la belle époque ! |
Ignacio travaille dans le vin. Il aime son métier et, voyager
C'est en travaillant à Carcassonne, durant les vendanges de l'hémisphère nord,
que Sabine l'a rencontré.
Ignacio est natif de Mendoza
Il nous a proposé de le rejoindre dans le restaurant d'un golf luxueux au sud de la ville,
à Lujan de Cuye
L'accès au golf se fait par une entrée parfaitement gardée,
et après la traversée d'un domaine ou se côtoient des maisons plus luxueuses les unes que les autres
L'Argentine sort d'une crise économique...
qui ne semble pas avoir touché équitablement
tous ses citoyens !
Bon choix, Ignacio, c'était délicieux et pas cher !
La bodega où travaille Ignicacio... il me manque des photos !!
Monumento San Martin
José San Martin fut un général argentin qui unifia les peuples argentins, chiliens, et péruviens
dans leur lutte contre l'oppresseur espagnol,
leur offrant l'accès à l'indépendance en 1818.
Nous entreprenons de gravir la colline qui domine toute la belle ville de Mendoza
afin d'y découvrir le mémorial en l'honneur de San Martin, figure historique de toutes les Andes
Il faut grimper...
encore grimper..
Le mémorial se mérite !
En fait, nous dévalerons la colline à toute allure, après nous être rendus compte
que nous n'avions plus les clés de la voiture...
restées sagement sur le fauteuil passager ! ouf
Sabine a cru un moment que l'oiseau sculpté sur la droite du mémorial était vrai... "t'as vu, il ne bouge pas l'oiseau là-haut" ! |
Zut, il ne s'agit pas du héros des Andes, mais de nous... |
La Casa de Raul !
Raul n'est pas professeur d'économie, mais,
à l'instar de nombreux argentins, il suit de près le redressement économique de son pays
espérant que les récents changements politiques produiront les effets attendus
Il a longtemps tenu un commerce de cassettes vidéo, et vit seul aujourd'hui,
des revenus des loyers de son ancien local, ainsi que ceux des locations
air bnb qu'il propose dans sa coquette villa
Raul pour nous remercier de lui avoir préparé un dîner la veille,
nous prépare 3 incroyables filets, parfaitement cuits, avec une sauce au vin et aux herbes...
La qualité de la viande argentine, n'est pas une légende,
pour peu que le cuisinier accepte de ne pas trop la cuire...
Bonne idée dans les stations,
pour inciter les jeunes argentins à se protéger la tête
21 avril 2018, à l'assaut des Andes et de son histoire !
Nous avons établi notre itinéraire,
Nous devons effectuer une boucle de près de 250 km
qui doit nous mener jusqu'au pied du sommet de l'Aconcagua,
le plus haut sommet des Andes qui culmine à 6 962 m,
avant de revenir en suivant la route des Incas
(El Puente de los Incas), jusque Mendoza
Nous commençons par traverser la très étendue agglomération de Mendoza
en direction du nord et de San Juan,
Nous laisserons sur notre droite l'aéroport de la ville avant d'entamer une interminable ligne droite
de 40 km, sur la RP 52,
dans un décor lunaire, totalement désertique, où il semble ne pas y avoir de vie.
Mendoza, comme Las Vegas,
est un ilot de vie et de verdure, au milieu d'un quasi désert
arrosée par la rivière éponyme, qui était totalement sèche lors de notre passage (c'est l'automne)
Raul nous expliquera que toute l'eau de cette rivière est captée en amont de Mendoza
afin d'irriguer et alimenter en eau une agglomération qui approche le million d'habitants
C'est à Villavicencio, que notre route bifurquera vers l'ouest et les Andes,
et que la ligne droite fera place à une route de plus en plus étroite et sinueuse
qui commence à grimper de plus en plus fort.
Les paysages changent rapidement eux aussi
offrant à nos yeux émerveillés des paysages de montagnes
qui n'ayant rien à envier à nos reliefs européens.
Nous faisons une première halte dans une petite auberge au pied des montagnes pour nous restaurer
ambiance alpestre !
et poursuivons, enthousiasmés par une journée qui s'annonce exceptionnelle
alors, nous allons grimper,
grimper
grimper
et encore grimper avec notre petite Chevrolet blanche
Alors que nous avons déjà bien grimpé
nous rencontrons des quadrupèdes, cousins des lamas,
appelés guanacos ou vigognes !
Gracieux, agiles et craintifs...merveilleux spectacle
Avant de continuer à... grimper sur une piste qui est une véritable autoroute
tant elle est régulière et dépourvue de pièges et autres trous...
Ce malheureux a cessé de grimper, ici-même !
Grimper
jusqu'à apercevoir enfin les neiges éternelles du toit des Andes !!!
ouahhhh
Nous sommes à 1310 d'altitude
Aussitôt la collation prise, nous reprenons la mythique nationale 7,
pour une nouvelle ascension, celle qui nous mènera au pied de l'Aconcagua
C'est la fin de l'après midi, le temps est splendide
et nous allons dévorer des yeux des paysages somptueux, baignés par une magnifique lumière d'automne, avec des couleurs et des ombres dans les or, anthracite, rouille...
qui mettrons à mal l'objectif de notre simple iPhone
Nous arrivons au pied de la route piétonnière qui doit nous mener au lac...
Nous avons laissé la voiture sur un parking
Nos sommes à 20 km de la frontière chilienne, à plus de 3000m !
courageuse Chevrolet !
Toujours ces incroyables lumières !!!
Nous ne serons que 3 à jouir de ce spectacle final...
Sabine qui a fait demi-tour pour récupérer notre porte monnaie oublié dans la voiture
s'est faite alpaguer par les gardes du parc que nous n'avions pas vus il y a 10' !
"C'est fermé maintenant, vous ne pouvez plus monter !"
C'est donc en compagnie de Renzi et Consu, un couple d'auto stoppeurs péruviens,
formé la veille, et séparé aussitôt...
(nous retrouverons Consu en compagnie d'un autre garçon le lendemain à Mendoza)
que je monterai jusqu'à ça !!!
Grandiose !!!! |
Nous redescendons cette route historique qui relie le Pérou, distant de quelques km à Mendoza,
qui fût empruntée par San Martin, libérateur des Andes, mais
aussi par les Incas
el Puente del Inca |
Ancienne mine et sa voie ferrée
à deux pas du Puente del Inca, décor de western...
VALLÉE DE L'UCO,
22 avril 2019
Après la journée inoubliable passée dans la chaîne des Andes
nous voulions aussi découvrir un autre trésor de cette magnifique province de Mendoza
La vallée d'Uco
Le vin a été introduit par les espagnols dès le XIXè, plus particulièrement au pied des Andes
où nous nous trouvons...
Mendoza, San Juan, Salta ont ainsi produit pendant plusieurs siècles
du volume plus que de la qualité pour des vins destinés au marché intérieur
Attirés par la qualité des terres et de l'ensoleillement exceptionnel,
de riches propriétaires de domaines français sont venus plus récemment s'y installer dans le but
de produire des vins de plus haute qualité, à partir de cépages français
Les vins argentins ont gagné peu à peu leurs lettres de noblesse
certains rivalisant aujourd'hui, avec nos meilleurs crus.
Pour nous rendre à destination,
nous quittons l'agglomération de Mendoza en direction du sud, durant une trentaine de minutes,
avant de quitter l'autoroute et bifurquer vers l'ouest où se trouve la vallée de l'Uco
Nous sommes aussitôt attirés par un marché très animé qui se déroule
dans la petite bourgade d'Urgateche
Première surprise, nous sommes en territoire inca !
Autant Mendoza nous a parue européenne par sa population,
autant ici, tous les visages sont burinés par le soleil, les hommes et les femmes de plus petite taille
Nous sommes à seulement 40 km de la capitale de la province !
Nous parcourons avec plaisir ce joli et très animé marché,
y changeons la vitre de protection de mon iPhone (les incas n'ont pas échappé à cela)
et nous nous arrêtons, attirés par un attroupement, mais aussi des saveurs bien appétissantes
Il était un peu tôt, mais nous dévorerons goulûment un seul et même sandwich
d'un excellent lomo préparé de main de maître par un homme-orchestre artisan..
un spectacle !
Une fois rassasiés, nous reprenons notre route vers la vallée de Uco
Nouvelle halte pour saluer le superbe Christo Rey del Valle
L'humeur est décidément flâneuse, il fait beau et chaud
Quelques km plus loin, nous faisons une nouvelle halte rafraîchissement
dans une station service
Mélange générationnel sur le parking... j'aime !
faisait soif ! |
Salenstein !
une bodega ultra moderne, au milieu des vignes
Design, sobriété, et art au programme !
Art, vigne, architecture ! |
On peut quand même y déguster et acheter du vin !
Nous nous arrêtons plus loin, dans une autre bodega
C'est bondé, et tout le monde mange
C'est dimanche, nous reprenons la route de Mendoza
C'est bondé, et tout le monde mange
C'est dimanche, nous reprenons la route de Mendoza
Ce soir, nous retrouvons Ignacio qui nous a convié à un concert !..
L'endroit est superbe, un ancien bâtiment industriel devenu lieu de spectacle
Ignacio est ici chez lui, il connaît tout le monde, et nous nous retrouvons tout
naturellement au premier rang ... joli moment passé ensemble !
Gracias Ignacio !
Quelques notes d'ambiance
Le lendemain du concert...
L'heure est venue de quitter Mendoza
Nous y avons passé une merveilleuse semaine, avec de superbes rencontres
et des paysages à vous couper le souffle
Nous flânons une dernière fois dans la ville avant de rendre la voiture de location
Tiens, une autre boutique BIC !
Nous avons nos billets pour San Carlos de Bariloche
située à quelques pas au sud... en fait 900 km, les distances sont grandes ici !
Nous espérons y trouver un train, un avion, un bus
afin de poursuivre 1000 autres km qui nous séparerons du joyau..
le Perito Moreno !
Il fait -2°C, en ce moment à San Carlos de Bariloche
Sabine me dit avoir prévu des serviettes, des maillots de bains, et quelques débardeurs..
pas sûr qu'elle ait bien réalisé que nous allions vers
le froid et la glace de Patagonie
le froid et la glace de Patagonie
Adieu à Raul
Raul, fut un extraordinaire hôte jusqu'à la dernière minute !
Le courageux nous proposa de se lever à 4h30, pour nous emmener
à l'aéroport de Mendoza, afin d'y prendre un avion de Flybondi
(tout nouveau low cost argentin dont nous avons profité des prix ultra compétitifs)
(tout nouveau low cost argentin dont nous avons profité des prix ultra compétitifs)
Adios, y muchísimas gracias, ha sido un placer !
Raul !
Raul !
24 avril, San Carlos de Bariloche Patagonie !
Le vol depuis Mendoza nous permettra de voir le soleil se lever sur les neiges éternelles andines
(toujours pas de photos...on ne désespère pas !)
Communément appelée Bariloche, la ville qui compte 100 000 âmes, borde le
Nahuel Huai, un grand lac glaciaire entouré par la cordillère des Andes
Cette surprenante ville est connue pour son architecture suisse et son...
chocolat !!!
C'est aussi un lieu de départ pour les randonnées, et le ski (nous sommes à 1000 m)
En fait, nous sommes dans une station de ski assez huppée,
qui pourrait tout aussi bien se trouver dans nos Alpes, avec,
son lac
(toujours pas de photos...on ne désespère pas !)
Communément appelée Bariloche, la ville qui compte 100 000 âmes, borde le
Nahuel Huai, un grand lac glaciaire entouré par la cordillère des Andes
Cette surprenante ville est connue pour son architecture suisse et son...
chocolat !!!
C'est aussi un lieu de départ pour les randonnées, et le ski (nous sommes à 1000 m)
En fait, nous sommes dans une station de ski assez huppée,
qui pourrait tout aussi bien se trouver dans nos Alpes, avec,
son lac
Sa cathédrale
Sa rue commerçante, sa gastronomie... on vous y proposera même de déguster une fondue
Et son chocolat ! Y'en a partout, de toutes les formes, toutes les tailles, toutes les couleurs
Partout !!Pour ceux et celles (il y a des gourmandes, aussi) qui préfèrent les glaces,
Y'en a aussi... au chocolat !
Une fois arrivés, nous laissons nos sacs à dos dans un café plutôt original et sympa, avec son réseau de train aérien, au dessus de nos têtes (photos wanted !!)
Tiens, un McDo
Bariloche a aussi son téléphérique
Nous décidons de monter admirer les paysages de montages, le lac, et peut être même la neige !
Un bus nous emmène jusqu'en haut de la ville où se trouve le départ du téléphérique
De jolies maison, de superbes vues et couleurs d'automne...
Plein les mirettes !!!
On voit même la neige !
Moteur !
Un restaurant panoramique tournant permet de déjeuner en voyant défiler l'horizon sur 360°
pendant que d'autres profitent du panorama plus sportivement !
Nous espérions poursuivre notre route depuis Bariloche vers le Perito Moreno
Mais c'était sans compter sur le fait que nous étions en basse saison
Pas un train, pas un bus, pas un bateau, ni même un avion pour rejoindre notre prochaine étape , RIEN !
Nous avons même envisagé de descendre par le Chili...rien
Plan B, pour nous rendre à El Calafate
El CALAFATE !
mercredi 25 avril
Après un stop par Buenos Aires, un avion nous déposera enfin à l'Aéroport d'El Calafate
Notre MasterCard profitera de l'occasion pour refuser de prendre la caution de la voiture...
Appels en urgence à la banque
"ici, le Crédit Agricole de Lille, ne quittez pas..."
"je vais vous passer.."
Tout finira bien, avec quelques dizaines d'euros de communication internationale en plus !
Nous chargeons nos sacs dans la voiture, direction le gîte !
et nous nous dirigeons aussitôt vers le parc du Perito Moreno,
situé à une quarantaine de km de la ville
La route nous fait longer des lacs aux couleurs sublimes, toutes les nuances de bleus et gris...
hélas imperceptibles pour le pauvre téléphone de Bill !
Arrivés au poste de garde du parc, nous faisons demi-tour,
Il est déjà très tard, la nuit va tomber
nous profiterons demain d'une journée complète pour admirer le glacier
Retour sur El Calafate et son..
supermarché dernier cri (son nom nous le rappelle, fort heureusement)
Petite maison en bois Une Peugeot qui roule encore,
Avant d'aller dîner "un peu" de viande, faut prendre des forces pour demain !!!
Végans, L214, et autres routeurs d'herbe, tournez la tête !
Jeudi 26 avril 2018,
c'est le grand jour !
Nous avons réuni nos vêtements les plus chauds...
à savoir, socquettes fines, polaires fines, et coupes-vent léger
pour nous protéger de températures que nous n'avions pas endurées depuis bien longtemps
En route !
Nous avons pris 2 jeunes auto stoppeurs français à la sortie d'El Calafate..
Nous sommes encore à une bonne dizaine de km du glacier
et nous commençons peu à peu à
cerner la puissance et la beauté du Perito Moreno !
On approche..
un peu plus près !
Nous arrivons au bout de notre route
et pouvons enfin commencer un parcours parfaitement dessiné sur des passerelles en bois, qui nous permettra de voir et entendre respirer le monstre de glace de 85 mètres de haut, et de près de 5 km de large, sur 30 km de long !!!
GRANDIOSE GRANDIOSE GRANDIOSE !!!
Nous passerons des heures à regarder et écouter le spectacle permanent de cette glace qui avance
à une vitesse exceptionnelle de 2m par jour,
laissant s'écraser régulièrement des tonnes de glace, dans un fracas impressionnant.
Sans que l'on sache l'expliquer,
Le Perito Moreno est un des rares glaciers au monde dont le volume continue de croître !
ça décoiffe !!!! |
où nous pourrons parfaire nos connaissances encore limitées de l'histoire et de l'évolution des glaciers
El Glaciar, musée dédié à la connaissance des glaciers ! |
l'heure est venue de remballer nos équipements polaires..
tous nos équipements, c'est à dire, rien ou presque !
BUENOS AIRES
Samedi 28 avril 2018,
C'est sous la pluie que nous revenons découvrir la capitale du pays,
dont l'agglomération compte 14,5 millions de "portéños" ("habitants du port")
originaires pour la plupart d'Italie et d'Espagne
Marisa nous accueillera dans son grand appartement désuet et plein de charme,
dans lequel elle vit avec son fils
Personnage haut en couleur, Marisa qui aime parler, c'est un doux euphémisme...
nous contera avec force détails, sa vie tumultueuse, ses amours, et son goût des arts,
nous réservant un accueil des plus chaleureux, et n'hésitant pas à nous envoyer
plus de 100 messages, durant notre séjour qui ne durera que 3 jours,
pour nous proposer autant d'idées de découvertes de Buenos Aires
El mate, bebida nacional, regalo de Marisa ! |
Un beso, muchísimas gracias,
Marisa !!!
Il pleuvra durant les 3 jours que nous passerons dans une ville
dont les habitants semblent minés et résignés par la crise économique qui a fait fondre
leurs revenus et leurs économies.
Nous n'avions pas ressenti jusqu'alors ce sentiment de désespoir face à la dure réalité
que traverse chroniquement l'Argentine
Nous déciderons en tenant compte de la météo humide,
de visiter le quartier de la Recoletta et son...cimetière,
de faire un tour de la ville en bus ouvert (nous avons eu de la chance, il n'a pas trop plu cet am là)
qui nous fera passer par les anciennes installations portuaires, les parcs magnifiques,
le célébrissime club de Boca Junior, sans oublier les immenses et belles avenues à l'architecture
européenne, mélange de style colonial et moderne, inspiré particulièrement par la présence espagnole
et..
d'utiliser le métro, pour nous déplacer d'un quartier à l'autre.
bien pratique sous la pluie !
Nous commençons à flâner dans les rues, entre 2 averses
une petite, faim... des chaussures en pâte d'amande
la police de Buenos Aires semble utiliser intensément ses pare-chocs
Les argentins cultivent le mythe d'Eva ! va |
L'incontournable Café art déco Tortoni, que nous avons contourné...tant il fallait faire la queue !
59, Le bus de Lille ? |
Le cimetière de la Recoletta est un lieu de passage obligatoire
pour qui prétend avoir visité un jour, Buenos Aires
Un plan vous y accueille, détaillant allées, et noms des occupants de chaque caveau
Impressionnant !
Il semble que les argentins aient mis un point d'honneur, en tout cas dans ce cimetière,
à rivaliser de signes ostentatoires de richesse, comme de.. mauvais goût
Nous n'avions encore jamais visité de cimetières jusqu'alors...
Voilà, c'est fait !
La tombe "d'Evita", Eva Perón, née Duarte
Nous ne l'avons pas achetée.. pas assez kitsch !?
L'obélisque prend des couleurs la nuit |
Tiens, un McDo
Si les argentins vouent un véritable culte au Tango,
le club de Boca Junior, club de légende, n'est pas en reste !
Autre passage incontournable de B.A
Photo volée au hasard d'un ralentissement de la circulation Juan Manuel Fangio et sa Ferrari ! |
Les docks historiques de la veille ville |
Notre courte halte dans la capitale prend fin
Il faudrait plus de temps pour espérer mieux connaître une ville chargée d'histoire
aux charmes cachés.
Nous découvrirons le Tango une prochaine fois !
Le chapeau d'un rocker célèbre Hard Rock Café, Aéroport de B.A |
Las cataratas d'Iguazu nous attendent !
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